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La ville de LA MACHINE

10 décembre 2009

APPEL A PHOTOS

TRAIN_MINEURS
Wagon à l'entrée de la Ville de LA MACHINE

DANS LE CADRE DE LA SORTIE PROCHAINE DU LIVRE
"LA MACHINE : les années 60 à Aujourd'hui,
en Images commentées,"

Christine DYSZKIEWICZ-DISKIER
RECHERCHES DES PHOTOS ET DES ARTICLES DE PRESSE...
.

NUL BESOIN D'ÊTRE ANCIEN !!!
Souvenez vous des Professeurs du Collège et de l'une des Ecoles Primaires
Souvenez vous de la fête du 15 août...
Souvenez vous du Kiosque à Musique derrière l'Eglise

CONTACTEZ MOI SOIT PAR E MAIL : cbel58@gmail.com
SOIT PAR TELEPHONE :06.88.92.38.83

Vous pouvez même me les faire parvenir directement par e mail(en résolution 600 dpi ou 500 dpi) MERCI!!!!!!

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26 janvier 2008

LES BALLETS MACHINOIS

ballets_Machinois PHOTO : 1ER SORTIE DES BALLETS MACHINOIS EN 1963. En 2000, le groupe folflorique des Ballets Machinois fêtait son 40e anniversaire d'existence. En effet, en 1960, un gymnaste de 23 ans (Gérard AUGARD) licencié au sein de l'UFMG depuis l'âge de 7 ans, agrémente les manifestations sportives de spn club par quelques danses avec la section féminine. l'essor que prend cette initiative le condui dès lors à créer un véritable groupe de danses. Mlle Marie GORANIN prend alors en charge la formation des danseuses. Gérard et Marie scellent donc les bases d'une future association sportive. En 1977, le succès de la section danse de l'UFMG conduit les couple à créer un groupe folflorique indépendant "Les Ballets Machinoisé. Ainsi, en 1977, le premier bureau est voté. Trois sections sont alors mises sur pieds : l'école de danses, le groupe des moyenes et le groupe folklorique. Les années sont passées et 1999 a vu s'éteindre au mois d'août la flamme qui a conduit durant 40 ans tant de persones et de jeunes filles sur les podiums et dans les salles de spectacles.
26 janvier 2008

l'UFM

l_UFM PHOTO : COLAS, BOGUET, VINCENT, COULON, MONTARON, BOUCHELIER, MAGDA, DRAZEK, LAJESKI, MERCKS, AUGARD, LORIOT, JEWIOCZ, DEVAUX. Un matin de juillet 1908, Edmond POULIGNIER créait la Société de Gymnastique "d'instruction militaire", L'Union Fraternelle Machinoise (UFM), et en devenait le Président. Cette Société aviat pour but de développer, par l'emploi rationnel du tir et des sports, les forces physiques et morales des séances de jeunes. Après la guerre de 1914/1918, la section de gymnastique reprend son essor soous l'impulsion de ses chefs de file, Paul DELATRE et Jules PANNARD. Mais ce n'est que plus tard, en 1922, que Léon WINTZINGER (moniteur général) permet à de grands chapions de se distinguer (MM ROUSSEAU, CHARASSE, BARDON, DEVOST, MAKABE, MATHONAT, MAUPOIX). M. WINTZINGER quitta le club en 1935. Dès lors, Francis DEVOST est tout indiqué pour reprendre la place de l'ancien entraineur et, pendant 25 ans, il sera moniteur général, puis démissionnera en 1960 pour raison de santé. En 1948 : Formation d'une section féminine de gymnastique. Le premier moniteur fut Henri LEFEVRE qui a été remplacé par Mme BASTOGIE, puis en 1951, par M. PANNARD. En 1958 : retour au pays de Maurice ROUSSEAU. L'UFM est une société omnipsports. En 1966, la section gymnastique compte 120 membres dont certains ont un passé glorieux. Citons nos champions : Edmond RAINAT : 1er champion du monde d'acrobatie avec un triple saut périlleux au trapèze volant. Maurice ROUSEAU : Champion de France toutes catégories, spécialiste du cheval d'arçon. Les dirigeants et moniteurs : MM MAZET, J. LEPRON, E. COUVREUR, A. BREJAUD, B. BOUCHELIER, M. AUGARD, L. VINCENT, C. BOULIER, A. POPINAT, F. BOUVET, etc...
26 janvier 2008

LE MARCHÉ

A l'origine, le marché (du latin MERCATOR) désigne le lieu même où s'effectuent les échanges. C'est au Moyen Âge que les marchés apparaissent avec la croissance des productions spécialisées. Prenant tout d'abord la forme de foires tenues à intervalles réguliers, ils deviennent, dès le 13ème siècle, des établissements permanents dot l'implantation est dès lors réglementée. A LA MACHINE, le marché connut ses heures de gloire avec l'exploitation minère. En effet, le marché animait la place des Fusillés. Je me souviens du "Bazar à 1 Francs", du marchand de pantalon, des fermières qui vendaient leurs poules, leurs oeufs, des marchands de fleurs. A la mi août, cette place accueillait tous les manèges de la fête patronale. En Mai 2000, cette place fut"aménagée" de telle sorte que le marché, les manèges des foraines ne puissent plus venir. Adieu souvenirs... Extrait du bulletin municipal de 2000 : "Après avoir conservé son aspect austère pendant plus de 50 ans, et devenue dangereuse avec la concentration des écoliers et collégiens d'une part, et la circulation automobile anarchique d'autre part, notre Place des Fussilés, est maintenant restructurée et repensée dans sa totalité".
21 janvier 2008

L'ÉCOLE

Mme_MAILLAULT PHOTO : Mme MAILLAULT (Institutrice CP à l'école primaire de la Place du Marché) Aller à l'école représentait une opportunité à saisir : Il fallait s'instruire afin d'éviter de travailler au fonds, dans les Mines de charbon. L'ECOLE MATERNELLE : Pourtant, mes souvenirs à l'école maternelle ne sont pas formidables. J'avais peur de ma maitresse ; de plus, pour moi qui n'avais jamais quitté le cocon familial, cet environnement était nouveau. Je me souviens des quelques dessins animés que l'on nous passait à l'occasion des fêtes de Noël. Les toboggans n'existaient pas. Il n'y avait qu'un bac à sable. Les classes étaient grandes, trop grandes pour moi. Heureusement, durant 2 ans, ma grand mère maternelle habitait le quartier "Les Glénons" situé à coté de mon école. Cela me permettait de la voir souvent. A la sortie de l'école, mon père m'achetait parfois (très rarement il faut l'avouer) une glace chez le marchand qui logeait à côté de l'école maternelle. L'ÉCOLE PRIMAIRE : J'eus la chance, pendant une année, d'aller à l'école située sur la Place du marché. Je dis LA CHANCE, car mon frère (18 mois d'écart) y était scolarisé. Cela me permettait d'être "surveillé" par lui et ses camarades. Puis l'année scolaire suivante, je fus affectée à l'école située près de l'église. Mes parents devaient donc faire les 2 écoles pour ramerner leurs enfants. Là j'eus une scolarité "banale" avec les jeux d'allors (la marelle, les petites balles, etc...) LE COLLEGE : Ah les années collège...L'adolescence, les bicyclettes, puis les vélomoteurs, la musique Rock, la découverte de nouvelles matières enseignées. L'enseignement était dispensé dans différents bâtiments. Il fallait jongler pour connaitre la bonne salle. Que de souvenirs ... Les noms de professeurs me reviennent : Mme GEOFFROY, Mme MARTIN, M. FRINZI, M. MATHE etc...
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21 janvier 2008

UNE POPULATION HETEROCLITE

LA MACHINE FUT....
21 janvier 2008

L'HARMONIE MUNICIPALE

L_Harmonie_des_Mines007 Comme beaucoup de petits Machinois, j'ai fréquenté l'école de musique. L'objectif était d'intégrer l'Harmonie Municipale qui rencontrait énormément de succès. La "clic" était composée par nombre de mineurs, qui après le travail du fond, aimaient à se divertir avec la musique. L'Harmonie Municipale de LA MACHINE a fêté ses 100 ans en 2000 !!! Elle fut donc créée en 1900. En 1920, quelques musiciens ayant fuit avec leur famille la proximité des champs de bataille sont restés à LA MAHINE, Mineurs du Nord. Leurs noms LEMICHEL, ROGER, DELAGE, ..., restent dans nos mémoires. En 140 ans, cette Société a connu 5 ransformations. 8 chefs se sont succédés au pupitre. Première Franfare.......... 1860/1874 M. CAMille MOUTTE Seconde Fanfafre............ 1874/1899 Harmonie des Mines........ 1900/1929 M. Jean Baptiste POITOU .....................................1929/1959 M. Adolphe GUENEAU ......................................1956/1975 M. Henri BOIN Après la fermeture de la Houillère en juillet 1974, la Société continue encore quelques mois sous l'appellation "Mines". Mars 1975, c'est la transformation en HARMONIE MUNICIPALE. A l'opposé des fanfares et harmonie des Mines qui n'ont connu que 4 chefs en 155 ans, l'Harmonie Municipale a changé 5 fois de directeur en 25 ans (M. Henri BOIN, M. Marcel PEIGNOT, Gilles LEVANNIER, Dominique COUTANT, Philippe MICHELOT) Harmonie3
21 janvier 2008

LES ANCIENS COMMERCES : UNE PÂTISSERIE

La_pa_tisserie_en_1953033 "Je me souviens de bonbons et des gâteaux que je dévorais dans ma pâtisserie préférée. Le dimanche, après la messe, nous nous précipitions à la pâtisserie pour acheter les gateaux que nous mangions goûlument l'après midi. Le mercredi, avant mes cours de musique, je m'achetais beaucoup de bonbons. Cela me donnait du courage. Qu'ils étaient bons ces gâteaux, non délicieux!!! Ils fondaient sous la langue : pas trop gras, pas trop sucré...Bref à point. Ils faisaient le prestige de notre ville minière, même si nous Polonais, faisions aussi les gâteaux de notre Pays d'origine." La pâtisserie GUILLERMIER fut créée en 1911 par le père d'Emile GUILLERMIER. Très vite, Emile prit la suite de son père (dès 1933). Après la guerre, Emile remit en état la pâtisserie. Inutile de vous dire que ces années d'après guerre furent extrêmement difficiles. Mais Emile sut faire face à la situation qui se redressa d'ailleurs en 1948. Puis il continua pendant de nombreuses années sur son succès assis, il faut l'avouer, sur la dextérité du Maître qu'il était : Citons, par exemple, la spécialité LE BARNUM, mais aussi les MARCARONS fourrés à différents parfums. La pâtisserie était toujours ouverte même pendant les fêtes locales (carnaval, Sainte Barbe, Saine Cécile, la fête du 15 août), etc... Emile GUILLERMIER exerça pendant 62 ans.
5 novembre 2007

LA VILLE DE MON ENFANCE

Bourg Chacun a une ville, sa ville, ou plutôt son village. La ville de mon enfance se nomme LA MACHINE. Quel drôle de nom me diriez vous !!! D'ailleurs peu de personnes me croient. Pourtant, cette ville existe réellement. Située au coeur du département de la NIEVRE (58) elle tient son nom, comme chacun le sait (Ah non ! J'oubliais...Vous ne le savez pas) d'une machine inventée pour extraire le charbon de la terre. Mes grands pères, mon père et mes oncles furent....mineurs de charbon, comme la plupart des POLONAIS. J'ai donc vécu dans une ville minère avec tout le style de vie que cela implqiue. L'essor de ma ville fut très florissant jusqu'en 1974 où les mines de charbon fermèrent. A compter de cette date, ma ville mourrut petit à petit, doucement, sans que l'on y prenne garde. Dans le passé, il y avait plein d'enfants, deux écoles primaires, un collège, une maternelle. Aujourd'hui, une école primaire est fermée. La maternelle est transformée en bibliothèque et en mini centre culturel où se rencontrent les personnes âgées. Dans le passé, les rues abondaient de commerces. On se souvient de la boulangerie JOURDAN où tous les enfants y venaient acheter leurs bonbons. Citons aussi la pâtisserie GUILLERMIER où chacun venait acheter de merveilleux et délicieux gâteaux. Il y avait aussi le marchand de vélos BLANCHARD, le magasin FAMILISTERE, les magasins de chaussures, le marché sur la grande place. Aujourd'hui, ces commerces ont disparu. Le marché se déroule dans la rue et ne rassemblent que peu d'ambulants faute de place. Dans le passé, il y avait toutes ces fêtes où nous, enfants, nous jouions et où les adultes se retrouvaient. Citons la fête du 15 août qui occupait tout le village. Aujourd'hui, les fêtes n'ont plus rien à voir. Ils n'occupent qu'une petite placette derrière l'église. AH !! QUE DE SOUVENIRS...
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La ville de LA MACHINE
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